Alors que les fraudes sont en forte hausse, ces personnalités du web, déjà au cœur de la polémique il y a quelques années, jouent toujours un rôle prépondérant dans leur diffusion. Avec la démocratisation de l’intelligence artificielle, les escrocs pourraient progressivement se passer de ces intermédiaires.
Dans son arrêt du 23 octobre 2024 (n° H 23-16.267), la chambre commerciale, dans une affaire de spoofing (usurpation), rend la banque responsable des détournements commis sur le compte en banque du client, non pas à son insu mais par fausse croyance. Une affaire suffisamment lourde de conséquences pour que la Cour de cassation en fasse un communiqué de presse !